French in the American English
Qui a dit que l'anglais nous envahissait tellement que le français devenait franglais?
L'anglais, lui aussi, subit les influences du français... En particulier l'anglais américain pratiqué sous nos contrées. Combien de fois n'avons-nous pas lu dans le New York Times des "francismes" dans le texte et sans italiques, tels que "je ne sais quoi" (djeu ne sè-i kwoy), "crème brûlée" (creim-broulèi), etc.? Cela abonde spécialement dans les articles de la rubrique "Dining in, Dining out", où les chroniqueurs Frank Bruni et Peter Mehan me font vivre avec leurs critiques impitoyables de restaurants new-yorkais des aventures culinaires trépidantes chaque mercredi.
Le plus drôle, c'est que la prononciation n'est pas toujours celle que l'on attend: là où, dans le souci de vous faire comprendre, vous allez demander des "krip" à la serveuse pour votre brunch du dimanche, elle va vous regarder avant de dire: "Ah, yeah, you want creeip?" Ben euh... oui, s'il vous plaît.
François L. m'a signalé ce petit article dans La Libre.
L'anglais, lui aussi, subit les influences du français... En particulier l'anglais américain pratiqué sous nos contrées. Combien de fois n'avons-nous pas lu dans le New York Times des "francismes" dans le texte et sans italiques, tels que "je ne sais quoi" (djeu ne sè-i kwoy), "crème brûlée" (creim-broulèi), etc.? Cela abonde spécialement dans les articles de la rubrique "Dining in, Dining out", où les chroniqueurs Frank Bruni et Peter Mehan me font vivre avec leurs critiques impitoyables de restaurants new-yorkais des aventures culinaires trépidantes chaque mercredi.
Le plus drôle, c'est que la prononciation n'est pas toujours celle que l'on attend: là où, dans le souci de vous faire comprendre, vous allez demander des "krip" à la serveuse pour votre brunch du dimanche, elle va vous regarder avant de dire: "Ah, yeah, you want creeip?" Ben euh... oui, s'il vous plaît.
François L. m'a signalé ce petit article dans La Libre.
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